Bonjour,
Si vous pouviez préciser le terme "libido masculine" selon votre compréhension, cela aiderait.
Libido masculine
Modérateur : Noe
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Re: Libido masculine
Bonjour chers amis,
La baisse de libido est souvent le résultat d'un abus sexuel ; il suffit de transmuter petit à petit, à son rythme, et les choses redeviendront normales.
Selon ma compréhension, la libido masculine signifie le désir sexuel, l'impulsion du feu luciférien, que l'on doit entretenir et transmuter en les 7 vertus principales :
L'avarice lunaire se transmute en Altruisme ;
La Luxure vénusienne se transmute en Chasteté ;
La Paresse Mercurienne se transmute en Diligence ;
La Gloutonnerie Saturnienne se transmute en Tempérance ;
La Colère Martienne se transmute en Amour ;
L'Envie Jupitérienne se transmute en Réjouissance pour le Bien d'Autrui ;
L'Orgueil Solaire se transmute en Foi et en Humilité.
C'est un travail ésotérique de plusieurs années pour comprendre que l'impulsion luciférienne est nécessaire pour la transmutation en l'Or Potable.
Ceci n'est que mon humble avis, et si vous avez des choses à partager sur ce sujet délicat, cela nous permettrait d'avancer dans la compréhension pour le Bien d'Autrui.
La baisse de libido est souvent le résultat d'un abus sexuel ; il suffit de transmuter petit à petit, à son rythme, et les choses redeviendront normales.
Selon ma compréhension, la libido masculine signifie le désir sexuel, l'impulsion du feu luciférien, que l'on doit entretenir et transmuter en les 7 vertus principales :
L'avarice lunaire se transmute en Altruisme ;
La Luxure vénusienne se transmute en Chasteté ;
La Paresse Mercurienne se transmute en Diligence ;
La Gloutonnerie Saturnienne se transmute en Tempérance ;
La Colère Martienne se transmute en Amour ;
L'Envie Jupitérienne se transmute en Réjouissance pour le Bien d'Autrui ;
L'Orgueil Solaire se transmute en Foi et en Humilité.
C'est un travail ésotérique de plusieurs années pour comprendre que l'impulsion luciférienne est nécessaire pour la transmutation en l'Or Potable.
Ceci n'est que mon humble avis, et si vous avez des choses à partager sur ce sujet délicat, cela nous permettrait d'avancer dans la compréhension pour le Bien d'Autrui.
Lorsque le Coeur s'ouvre à la Compassion,
Les fleurs de la félicité fleurissent dans tous les coeurs.
Disponible via skype pour toute aide pratique.
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Re: Libido masculine
Bonjour,
Je rejoins l'avis de Noé par le Respect de l'autre et de soi-même.
Si on force ou on violente son propre corps ou le corps d'un autre, consciemment ou inconsciemment, on en paie les conséquences.
Lorsque l'on respecte sexuellement son propre corps, on respecte Lucifer et on respecte l'Esprit-Saint notre Divine Mère de Compassion.
Lorsque l'on respecte sexuellement le corps de l'Autre, on respecte Lucifer et on respecte l'Esprit-Saint notre Divine Mère de Compassion.
Le respect est la porte d'entrée de l'amour désintéressé.
L'homme qui a perdu sa libido ou qui commence à la perdre doit apprendre le Respect du Sexe par le respect de soi-même et de l'autre.
Lorsque l'on respecte, on commence à aimer. Ni trop, ni pas assez : l'équilibre. La vie nous apprend cela.
Je connais un homme dont la culpabilité et le rejet de lui-même entretiennent sa baisse et sa perte de libido.
Je rejoins l'avis de Noé par le Respect de l'autre et de soi-même.
Si on force ou on violente son propre corps ou le corps d'un autre, consciemment ou inconsciemment, on en paie les conséquences.
Lorsque l'on respecte sexuellement son propre corps, on respecte Lucifer et on respecte l'Esprit-Saint notre Divine Mère de Compassion.
Lorsque l'on respecte sexuellement le corps de l'Autre, on respecte Lucifer et on respecte l'Esprit-Saint notre Divine Mère de Compassion.
Le respect est la porte d'entrée de l'amour désintéressé.
L'homme qui a perdu sa libido ou qui commence à la perdre doit apprendre le Respect du Sexe par le respect de soi-même et de l'autre.
Lorsque l'on respecte, on commence à aimer. Ni trop, ni pas assez : l'équilibre. La vie nous apprend cela.
Je connais un homme dont la culpabilité et le rejet de lui-même entretiennent sa baisse et sa perte de libido.
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Re: Libido masculine
Un dernier avis de ma part à ce sujet :
L'avarice fait "mal" à l'autre et à soi-même
La paresse fait "mal" à l'autre et à soi-même
La gloutonnerie fait "mal" à l'autre et à soi-même
La colère fait "mal" à l'autre et à soi-même
L'envie fait "mal" à l'autre et à soi-même
L'orgueil fait "mal" à l'autre et à soi-même
Comment comprendre la luxure qui fait "du bien" à l'autre et à soi-même si on pratique une "sexualité normale" ?
Ce défaut agit dans les 2 sens : vers "le mal" (sexualité anormale) et vers " le bien" (sexualité normale).
Cette pieuvre imprègne les mondes "du bien" et "du mal".
C'est à mon avis, le plus terrible des défauts.
L'avarice fait "mal" à l'autre et à soi-même
La paresse fait "mal" à l'autre et à soi-même
La gloutonnerie fait "mal" à l'autre et à soi-même
La colère fait "mal" à l'autre et à soi-même
L'envie fait "mal" à l'autre et à soi-même
L'orgueil fait "mal" à l'autre et à soi-même
Comment comprendre la luxure qui fait "du bien" à l'autre et à soi-même si on pratique une "sexualité normale" ?
Ce défaut agit dans les 2 sens : vers "le mal" (sexualité anormale) et vers " le bien" (sexualité normale).
Cette pieuvre imprègne les mondes "du bien" et "du mal".
C'est à mon avis, le plus terrible des défauts.
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Re: Libido masculine
Chers amis de D&C,
Il me semble que nous touchons du doigt quelque chose d’important dans le processus d’auto-découverte.
Découvrir ce qu’il y a de bien et de mal dans un défaut indique une profondeur de vue et un changement de fond dans notre psychologie.
Il me semble que le « bien » et le mal », deux termes qui ont fait couler beaucoup d’encre - et dont le Maître nous raconte que celui qui les a inventés doit payer un lourd karma qui l’empêche de regagner l’absolu - peuvent s’appréhender de deux manières : par le point de vue confus de notre psychologie animale ou par celui de la conscience.
Notre mental ou pour mieux dire notre psychologie est conditionnée, et ce conditionnement nous maintient dans le piège de la dualité.
La dualité est le système binaire sur lequel repose toute notre psychologie et c’est pourquoi nous jugeons les choses en bien ou en mal.
Le sentiment du bien ou du mal peut varier et se déplacer selon la manière dont notre mental est conditionné.
Dans la psychologie de l’avare, il est bien de mettre de côté les 2/3 de son salaire et de ne vivre chichement qu’avec le 1/3 restant, en expliquant à qui veut bien l’entendre ses difficultés financières permanentes.
La conscience nous permet de détecter ce que nous appelons bien ou mal dans nos attitudes mentales.
Notre conscience peut aussi d’une manière générale déceler ce dont elle a besoin pour s’éveiller.
On pourrait alors exprimer que ce qui est «bien» pour notre conscience est ce qui la nourrit, la fait grandir, et ce qui est «mal», est ce qui l’emprisonne et nuit à sa progression.
«Se faire du tort à soi-même» n’est plus quelque chose d’arbitraire mais une réalité crue et palpable.
L’avarice, la paresse, la gloutonnerie, la colère, l’envie, l’orgueil et la luxure, font du tort, du «mal» à la conscience.
Nous pensons que ce qui est important dans nos études, c’est de mesurer, de peser les choses avec la conscience.
La décharge de brutalité est sous jacente dans chaque défaut capital.
Dans le propos d’illustrer cet aspect par l’expérience, je vais relater certains faits qui me paraissent instructifs.
Un jour quelconque, face à mon manque de constance dans le travail ésotérique, je résolus un soir de faire la demande suivante à ma Mère Divine :
« Mère, je suis trop faible pour accomplir ce travail, prisonnier de mes vices depuis tant et tant de siècles. Je te demande, si cela peut stimuler ma conscience vacillante, de me précipiter dans mes propres enfers pour mesurer en toute exactitude le résultat de mes actions. »
Je m’appliquai ensuite à vider mon mental de toutes espèces de préoccupations, et je m’abandonnais à la volonté divine.
De la même manière que mon réveil sonne le lever du jour, je me réveillais de ce que je pensais être ma nuit mais je compris très vite qu’il n’en était pas ainsi.
Je me trouvai dans une pièce aux ambiances médiévales avec un froid glacial chargé d’une forte humidité. Je n’étais pas seul, des individus, une dizaine, aux allures grotesques m’observaient. Ils n’étaient pas beaux à contempler ces pauvres bougres, on aurait dit ces tristes phénomènes de foire qu’à une certaine époque, on aimait exhiber devant les foules. A certains ils manquaient des membres, à d’autres leurs visages étaient difformes, mais tous avaient une un objet qui pouvaient faire office d’arme dans la main, ciseaux, bâton, couteau, pique, pioche, etc.. Que faisais-je ici en si mauvaise compagnie ? J’appartenais tout simplement à cette bande et nous étions repliés dans une espèce de donjon, remplis de crainte et de haine pour ceux qui nous poursuivaient. Il était clair que nous étions cachés ici, reprenant notre souffle et nous préparant à sortir de nouveau.
Le fait le plus étrange est que nous étions à la fois traqués et traqueurs. Cela n’avait pas de sens, nous traquions d’autres individus tout en sachant que nous-mêmes étions ardemment recherchés.
Il ne régnait dans ces lieux que peur, violence et brutalité.
Seule la bestialité m’animait : une peur bestiale dirigée vers la fuite et un désir de meurtre quand nous étions confrontés à une autre bande rivale.
Aussi lamentable et terrifiant que cela puisse paraitre, je tuais, découpais bras et têtes, le corps recouvert de sang.
Et lorsque nous étions les proies, je recevais coup de poignards et morsures, une fois quelqu’un m’arracha l’oreille avec les dents.
Je passais mon temps dans la terreur et l’assassinat.
Le plus monstrueux est que chaque action menée avait un parfum de fornication, de luxure.
Je pus comprendre par la suite que la luxure était présente dans le meurtre, dans l’acte de tuer ou détruire.
Que mon Dieu et ma Mère Divine m’assistent, quelle horreur !
Mais n’étais-ce pas ce que j’avais demandé ?
Peu à peu, au-delà du fait de vivre la situation, je me rappelais à moi-même, à ce que je faisais ici et à ce que j’étais en train de faire.
Une prise de conscience commençait à se profiler en moi-même, en même temps qu’une infinie terreur, mille fois plus intense que la peur animale qui m’habitait peu avant.
Cette prise de conscience fulgurante me ramena dans mon corps physique, qui reposait délicatement recouvert par une douce couverture d’hiver.
Le contraste était saisissant.
Après un certain temps, je fermais les yeux pour revivre l’expérience et tenter d’en capter toute la signification.
Il m’arrive parfois, de revivre ces scènes d’extrême violence, de pénétrer dans cette région inconnue de moi-même, là où ne règne que la folie, là où je devrai vivre si je n’accomplis pas mon devoir, loin, bien loin de toute lumière et de compassion.
Je mesure ainsi ce que je suis et le travail qu’il faut accomplir pour nettoyer de toutes souillures nos enfers mentaux.
Cela semble en effet plus évident de mesurer la brutalité derrière la colère, mais nous pouvons vérifier qu’il en est exactement de même avec n’importe quel défaut, et qu’en effet la luxure a un statut « spécial ».
Elle imprègne de sa malice infernale toutes nos actions négatives, résultats de nos péchés intérieurs.
Il existe pour chaque défaut différents niveaux de dégénérescence.
Sur le plan spécifique de la luxure, le simple fait d’éjaculer notre semence est une violence contre la nature divine.
Notre conscience est seule capable de mesurer la manière dont se cristallise dans notre psychisme le fait d’extraire de son organisme notre précieux liquide, l'intellect ne le peut pas.
«La violence engendre la violence», à force d’habitude se créé de nouvelles formes de violence et de brutalité.
Il nous appartient de trouver en nous-mêmes la sagesse.
La sagesse de connaître ce qui est bien et mal dans nos défauts et la sagesse de connaître comment éveiller notre conscience.
Si nous manquons de sagesse, devenons comme des enfants et demandons à notre Mère Divine.
Si notre demande est juste et sans faille, elle y répondra.
Paix & Lumière
L.
Il me semble que nous touchons du doigt quelque chose d’important dans le processus d’auto-découverte.
Découvrir ce qu’il y a de bien et de mal dans un défaut indique une profondeur de vue et un changement de fond dans notre psychologie.
Il me semble que le « bien » et le mal », deux termes qui ont fait couler beaucoup d’encre - et dont le Maître nous raconte que celui qui les a inventés doit payer un lourd karma qui l’empêche de regagner l’absolu - peuvent s’appréhender de deux manières : par le point de vue confus de notre psychologie animale ou par celui de la conscience.
Notre mental ou pour mieux dire notre psychologie est conditionnée, et ce conditionnement nous maintient dans le piège de la dualité.
La dualité est le système binaire sur lequel repose toute notre psychologie et c’est pourquoi nous jugeons les choses en bien ou en mal.
Le sentiment du bien ou du mal peut varier et se déplacer selon la manière dont notre mental est conditionné.
Dans la psychologie de l’avare, il est bien de mettre de côté les 2/3 de son salaire et de ne vivre chichement qu’avec le 1/3 restant, en expliquant à qui veut bien l’entendre ses difficultés financières permanentes.
La conscience nous permet de détecter ce que nous appelons bien ou mal dans nos attitudes mentales.
Notre conscience peut aussi d’une manière générale déceler ce dont elle a besoin pour s’éveiller.
On pourrait alors exprimer que ce qui est «bien» pour notre conscience est ce qui la nourrit, la fait grandir, et ce qui est «mal», est ce qui l’emprisonne et nuit à sa progression.
«Se faire du tort à soi-même» n’est plus quelque chose d’arbitraire mais une réalité crue et palpable.
L’avarice, la paresse, la gloutonnerie, la colère, l’envie, l’orgueil et la luxure, font du tort, du «mal» à la conscience.
Nous pensons que ce qui est important dans nos études, c’est de mesurer, de peser les choses avec la conscience.
La décharge de brutalité est sous jacente dans chaque défaut capital.
Dans le propos d’illustrer cet aspect par l’expérience, je vais relater certains faits qui me paraissent instructifs.
Un jour quelconque, face à mon manque de constance dans le travail ésotérique, je résolus un soir de faire la demande suivante à ma Mère Divine :
« Mère, je suis trop faible pour accomplir ce travail, prisonnier de mes vices depuis tant et tant de siècles. Je te demande, si cela peut stimuler ma conscience vacillante, de me précipiter dans mes propres enfers pour mesurer en toute exactitude le résultat de mes actions. »
Je m’appliquai ensuite à vider mon mental de toutes espèces de préoccupations, et je m’abandonnais à la volonté divine.
De la même manière que mon réveil sonne le lever du jour, je me réveillais de ce que je pensais être ma nuit mais je compris très vite qu’il n’en était pas ainsi.
Je me trouvai dans une pièce aux ambiances médiévales avec un froid glacial chargé d’une forte humidité. Je n’étais pas seul, des individus, une dizaine, aux allures grotesques m’observaient. Ils n’étaient pas beaux à contempler ces pauvres bougres, on aurait dit ces tristes phénomènes de foire qu’à une certaine époque, on aimait exhiber devant les foules. A certains ils manquaient des membres, à d’autres leurs visages étaient difformes, mais tous avaient une un objet qui pouvaient faire office d’arme dans la main, ciseaux, bâton, couteau, pique, pioche, etc.. Que faisais-je ici en si mauvaise compagnie ? J’appartenais tout simplement à cette bande et nous étions repliés dans une espèce de donjon, remplis de crainte et de haine pour ceux qui nous poursuivaient. Il était clair que nous étions cachés ici, reprenant notre souffle et nous préparant à sortir de nouveau.
Le fait le plus étrange est que nous étions à la fois traqués et traqueurs. Cela n’avait pas de sens, nous traquions d’autres individus tout en sachant que nous-mêmes étions ardemment recherchés.
Il ne régnait dans ces lieux que peur, violence et brutalité.
Seule la bestialité m’animait : une peur bestiale dirigée vers la fuite et un désir de meurtre quand nous étions confrontés à une autre bande rivale.
Aussi lamentable et terrifiant que cela puisse paraitre, je tuais, découpais bras et têtes, le corps recouvert de sang.
Et lorsque nous étions les proies, je recevais coup de poignards et morsures, une fois quelqu’un m’arracha l’oreille avec les dents.
Je passais mon temps dans la terreur et l’assassinat.
Le plus monstrueux est que chaque action menée avait un parfum de fornication, de luxure.
Je pus comprendre par la suite que la luxure était présente dans le meurtre, dans l’acte de tuer ou détruire.
Que mon Dieu et ma Mère Divine m’assistent, quelle horreur !
Mais n’étais-ce pas ce que j’avais demandé ?
Peu à peu, au-delà du fait de vivre la situation, je me rappelais à moi-même, à ce que je faisais ici et à ce que j’étais en train de faire.
Une prise de conscience commençait à se profiler en moi-même, en même temps qu’une infinie terreur, mille fois plus intense que la peur animale qui m’habitait peu avant.
Cette prise de conscience fulgurante me ramena dans mon corps physique, qui reposait délicatement recouvert par une douce couverture d’hiver.
Le contraste était saisissant.
Après un certain temps, je fermais les yeux pour revivre l’expérience et tenter d’en capter toute la signification.
Il m’arrive parfois, de revivre ces scènes d’extrême violence, de pénétrer dans cette région inconnue de moi-même, là où ne règne que la folie, là où je devrai vivre si je n’accomplis pas mon devoir, loin, bien loin de toute lumière et de compassion.
Je mesure ainsi ce que je suis et le travail qu’il faut accomplir pour nettoyer de toutes souillures nos enfers mentaux.
Cela semble en effet plus évident de mesurer la brutalité derrière la colère, mais nous pouvons vérifier qu’il en est exactement de même avec n’importe quel défaut, et qu’en effet la luxure a un statut « spécial ».
Elle imprègne de sa malice infernale toutes nos actions négatives, résultats de nos péchés intérieurs.
Il existe pour chaque défaut différents niveaux de dégénérescence.
Sur le plan spécifique de la luxure, le simple fait d’éjaculer notre semence est une violence contre la nature divine.
Notre conscience est seule capable de mesurer la manière dont se cristallise dans notre psychisme le fait d’extraire de son organisme notre précieux liquide, l'intellect ne le peut pas.
«La violence engendre la violence», à force d’habitude se créé de nouvelles formes de violence et de brutalité.
Il nous appartient de trouver en nous-mêmes la sagesse.
La sagesse de connaître ce qui est bien et mal dans nos défauts et la sagesse de connaître comment éveiller notre conscience.
Si nous manquons de sagesse, devenons comme des enfants et demandons à notre Mère Divine.
Si notre demande est juste et sans faille, elle y répondra.
Paix & Lumière
L.
"Le temps s'écoule plus vite que notre poussière"
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Re: Libido masculine
Bonjour et merci pour ta participation à ce forum.
Je ne doute pas qu’il y a de bonnes intentions derrière ton message, dont celle d’éclairer autrui.
Dire à quelqu’un ce qu’il doit faire ou ne pas faire, est réellement un exercice délicat et ne saurait être pris à la légère.
Dans ce forum, nous partageons les fruits de nos expériences directes et incitons nos auditeurs à faire preuve de suffisamment d’indépendance pour vérifier par eux-mêmes, si et seulement si le cœur leur en dit, nos découvertes.
Le résultat de nos expérimentations nous a conduits à comprendre la valeur initiatique de la semence.
Nous ne pouvons accepter ton affirmation qui met en relation "la maîtrise des pulsions libidineuses" et "la libération de sa semence de temps en temps".
L’impact de l’expulsion de la semence sur le processus initiatique est immédiat, direct, définitif se traduisant par une décharge catastrophique d’énergie avec une perte de conscience.
En ésotérisme, on appelle cela une chute, et son symbole le plus connu est la tour foudroyée, l’arcane 16 du tarot.
L’ésotérisme pratique est le résultat d’investigations très précises, à l’intérieur de soi-même et dans les mondes supérieurs.
Il y a deux types de connaissance : la connaissance intellectuelle et la connaissance directe.
La connaissance directe n’est accessible que si nous savons faire le vide en nous, et nous ne pouvons faire le vide dans notre mental si nous savons.
Le vide est le résultat d’un long travail dans la méditation interne.
Le travail avec le feu sexuel n’est pas une curiosité, une théorie, ou un acte « exotique », « new age » ou je ne sais encore.
http://www.don-et-compassion.com/corps_ ... phere.html
Pour devenir vraiment sérieux, nous devons tous cesser d’être superficiels et cela commence par comprendre que les théories accumulées ne sont pas la connaissance réelle.
Le travail intérieur est l’unique chemin pour se libérer du rêve dans lequel nous vivons…
Si ce travail t’intéresse, sois la bienvenue.
Bien à toi
L.
Je ne doute pas qu’il y a de bonnes intentions derrière ton message, dont celle d’éclairer autrui.
Dire à quelqu’un ce qu’il doit faire ou ne pas faire, est réellement un exercice délicat et ne saurait être pris à la légère.
Dans ce forum, nous partageons les fruits de nos expériences directes et incitons nos auditeurs à faire preuve de suffisamment d’indépendance pour vérifier par eux-mêmes, si et seulement si le cœur leur en dit, nos découvertes.
Le résultat de nos expérimentations nous a conduits à comprendre la valeur initiatique de la semence.
Nous ne pouvons accepter ton affirmation qui met en relation "la maîtrise des pulsions libidineuses" et "la libération de sa semence de temps en temps".
L’impact de l’expulsion de la semence sur le processus initiatique est immédiat, direct, définitif se traduisant par une décharge catastrophique d’énergie avec une perte de conscience.
En ésotérisme, on appelle cela une chute, et son symbole le plus connu est la tour foudroyée, l’arcane 16 du tarot.
L’ésotérisme pratique est le résultat d’investigations très précises, à l’intérieur de soi-même et dans les mondes supérieurs.
Il y a deux types de connaissance : la connaissance intellectuelle et la connaissance directe.
La connaissance directe n’est accessible que si nous savons faire le vide en nous, et nous ne pouvons faire le vide dans notre mental si nous savons.
Le vide est le résultat d’un long travail dans la méditation interne.
Le travail avec le feu sexuel n’est pas une curiosité, une théorie, ou un acte « exotique », « new age » ou je ne sais encore.
http://www.don-et-compassion.com/corps_ ... phere.html
Pour devenir vraiment sérieux, nous devons tous cesser d’être superficiels et cela commence par comprendre que les théories accumulées ne sont pas la connaissance réelle.
Le travail intérieur est l’unique chemin pour se libérer du rêve dans lequel nous vivons…
Si ce travail t’intéresse, sois la bienvenue.
Bien à toi
L.
"Le temps s'écoule plus vite que notre poussière"
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Re: Libido masculine
Pratiquement, en suivant ces pratiques tantriques ou autres, tu vas développer ta conductivité extatique et faire circuler plus de prana/d'énergie à travers ta colonne vertébrale. Tu pourras maîtriser tes pulsions libidineuses, même dans tes rêveschikichiko7 a écrit :Bonjour,
quant-à-moi je souffre de la baisse de la libido masculine ...
A+
En fonction de ta pratique, tu peux bien sûr libérer ta semence de temps en temps, tous les mois ou les 2 mois sans aucun impact négatif apparent.