Re: Carnet de méditation, d'observation et vécu de Raspoutine
Posté : 2 décembre 2013, 18:10
Chers Amis,
Les propos fort intéressants de notre estimé ami Raspoutine me rappelle que d’un point de vue général, ce que nous nommons lutte, combat, discipline, travail, etc., sur nous-mêmes, peut en synthèse se vivre de 2 façons, une manière réaliste ou une autre fantaisiste.
Découvrir de quelle manière nous pouvons agir sur nous-mêmes de manière réaliste, sans fortifier la fausse image de soi, est un véritable « tour de force ».
Nous pouvons donner dans le meilleur des cas une juste orientation. Le Maître du Verseau l’a fait à travers ses ouvrages et ses conférences. D’autres l’ont fait avant lui et le feront encore après.
Ce qui doit se mobiliser est la partie secrète, ignorée de nous-mêmes, notre essence divine, notre Bouddhata, notre parcelle d’âme.
Dans le cas contraire, notre action serait complétement fantaisiste et ne contribuerait à aucun changement de fond.
Comment vérifier que ce qui se mobilise en nous est bien l’essence divine et non un quelconque agrégat psychique revêtu de la tunique de l’initié ?
Cette question doit être appréciée avec le plus grand sérieux, avec la plus grande exigence et trouver sa réponse en chacun de nous.
Il parait évident que nous devons être aptes à discerner, à séparer le subtil de l'épais...
Chacun a la possibilité de témoigner de ce qu’il vit de façon responsable, et nous encourageons cette exigence sur ce forum.
Notre devoir est d’inspirer le mieux possible nos amis sur ce chemin et nous tous ici y participons.
Je tiens à remercier chacun d’entre vous pour ce partage d’expérience si important.
Ce que nous pouvons indiquer c’est que la conscience se suffit à elle-même, elle ne traduit pas, elle ne commente pas, elle ne raisonne pas.
L’observation est simple. Ce qui observe ne parle pas, ne discrimine pas, ne justifie pas, ne condamne pas.
Ce qui observe vit chaque chose intensément dans le présent.
Ce qui observe accède à la compréhension silencieuse des mensonges qui alimentent les rouages de notre fausse personnalité.
Peu à peu, nous remettons ce que nous avons d’âme en nous à notre Dieu interne.
Peu à peu, nous pénétrons consciemment dans le monde mystérieux des commandements.
Ils deviennent vivants.
Le premier commandement devient vivant et il vit en nous spontanément.
Nous aimons Dieu par-dessus toutes choses - c’est un fait, pas un dogme, pas une idée, pas une prière.
Cela ne signifie pas que la lutte contre le moi-même ne soit pas réelle, elle l’est.
Elle est justement vécue d’une manière réaliste et l’enjeu est l’éveil de la conscience.
Lorsque nous vivons cette lutte fantaisistement, il n’y a pas d’enjeu réel, nous sommes toujours à la périphérie et nous faisons que rêver que nous luttons…
Ainsi il existe un étalon pour chacun, il s’agit de l’expérience interne.
Quelles sont nos expériences internes ?
La Lumière de l’Etre jaillit en nous lorsque les conditions intérieures sont réunies.
Si elle ne jaillit pas, nous devons enquêter avec plus de sévérité sur nous-mêmes.
Nous ne devons-nous reposer sur aucune certitude, si elle ne se vérifie pas dans la réalité crue des faits.
Cette réalité des faits ne peut être transmise par aucun artifice verbal.
Elle est le résultat d'un apprentissage profond individuel qui se vérifie dans nos expériences internes.
Paix & Lumière
L.
Les propos fort intéressants de notre estimé ami Raspoutine me rappelle que d’un point de vue général, ce que nous nommons lutte, combat, discipline, travail, etc., sur nous-mêmes, peut en synthèse se vivre de 2 façons, une manière réaliste ou une autre fantaisiste.
Découvrir de quelle manière nous pouvons agir sur nous-mêmes de manière réaliste, sans fortifier la fausse image de soi, est un véritable « tour de force ».
Nous pouvons donner dans le meilleur des cas une juste orientation. Le Maître du Verseau l’a fait à travers ses ouvrages et ses conférences. D’autres l’ont fait avant lui et le feront encore après.
Ce qui doit se mobiliser est la partie secrète, ignorée de nous-mêmes, notre essence divine, notre Bouddhata, notre parcelle d’âme.
Dans le cas contraire, notre action serait complétement fantaisiste et ne contribuerait à aucun changement de fond.
Comment vérifier que ce qui se mobilise en nous est bien l’essence divine et non un quelconque agrégat psychique revêtu de la tunique de l’initié ?
Cette question doit être appréciée avec le plus grand sérieux, avec la plus grande exigence et trouver sa réponse en chacun de nous.
Il parait évident que nous devons être aptes à discerner, à séparer le subtil de l'épais...
Chacun a la possibilité de témoigner de ce qu’il vit de façon responsable, et nous encourageons cette exigence sur ce forum.
Notre devoir est d’inspirer le mieux possible nos amis sur ce chemin et nous tous ici y participons.
Je tiens à remercier chacun d’entre vous pour ce partage d’expérience si important.
Ce que nous pouvons indiquer c’est que la conscience se suffit à elle-même, elle ne traduit pas, elle ne commente pas, elle ne raisonne pas.
L’observation est simple. Ce qui observe ne parle pas, ne discrimine pas, ne justifie pas, ne condamne pas.
Ce qui observe vit chaque chose intensément dans le présent.
Ce qui observe accède à la compréhension silencieuse des mensonges qui alimentent les rouages de notre fausse personnalité.
Peu à peu, nous remettons ce que nous avons d’âme en nous à notre Dieu interne.
Peu à peu, nous pénétrons consciemment dans le monde mystérieux des commandements.
Ils deviennent vivants.
Le premier commandement devient vivant et il vit en nous spontanément.
Nous aimons Dieu par-dessus toutes choses - c’est un fait, pas un dogme, pas une idée, pas une prière.
Cela ne signifie pas que la lutte contre le moi-même ne soit pas réelle, elle l’est.
Elle est justement vécue d’une manière réaliste et l’enjeu est l’éveil de la conscience.
Lorsque nous vivons cette lutte fantaisistement, il n’y a pas d’enjeu réel, nous sommes toujours à la périphérie et nous faisons que rêver que nous luttons…
Ainsi il existe un étalon pour chacun, il s’agit de l’expérience interne.
Quelles sont nos expériences internes ?
La Lumière de l’Etre jaillit en nous lorsque les conditions intérieures sont réunies.
Si elle ne jaillit pas, nous devons enquêter avec plus de sévérité sur nous-mêmes.
Nous ne devons-nous reposer sur aucune certitude, si elle ne se vérifie pas dans la réalité crue des faits.
Cette réalité des faits ne peut être transmise par aucun artifice verbal.
Elle est le résultat d'un apprentissage profond individuel qui se vérifie dans nos expériences internes.
Paix & Lumière
L.