Carnet de route de Paul

Apprendre comment faire un voyage astral : démarrez ici votre plan d'action.

Modérateur : Noe

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Re: Carnet de route de Paul

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Méditation du soir :

Même résultat, après environ 1h30, je décide de dormir car la position m'est difficile à supporter plus longtemps.
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Re: Carnet de route de Paul

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Méditation du soir vers 1h30 (j'ai veillé) :

Je ne me souviens plus combien de temps je suis resté ainsi. Environ 45min. Puis par la fatigue je décida surement de dormir.

Mais durant cette relaxation, je portais attention à mon front intuitivement. Je sentais comme si on m'appuyais entre les deux sourcils mais quelques cm plus haut (au chakra frontal ?). Comme si on m'appuyait avec un doigt. Je suis resté concentré ainsi.

J'ai réessayé le matin, mais c'était moins présent.

A l'heure au j'écris, je dirais que je ressens légèrement cette sensation.

Est-ce parce que je stimule le chakra en portant mon attention dessus ? Ou est-ce par ma méditation régulière ?
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Re: Carnet de route de Paul

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Méditation à 1h00 :

Je médite ainsi 45min et par fatigue abandonne. Réveille à 5H, méditation sur mon fauteuil, mon chat viens sur moi ce qui m'a demandé de bouger pour m'en occuper. Je reste ainsi environ 1h. Retour au lit et re-méditation d'environ 30min.

J'étais trop fatigué pour ces méditations, j'ai eu beaucoup de mal de ne pas me laisser porter par mes pensées.

Je m'interroge sur le son sur lequel je me concentre. Je pense qu'il s'agit du fameux son des grillons mais je me demande si ce n'est pas tout simplement des acouphènes. Car je peux les entendre n'importe quand. Il me suffit d'y faire attention. C'est assez aigu, comme des grillons au crépuscule, ou comme une ancien télévision sur une fréquence sans chaîne (neige).

un peu comme cela mais en plus aigu, discret, et plus doux : https://www.youtube.com/watch?v=ZXtimhT-ff4
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Re: Carnet de route de Paul

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Méditation en journée de 16h30 à 17h30 : je pensais être resté plus longtemps qu'une heure.

Cela surement dû à un manque de concentration qui m'a fais perdre un peu le fil.

J'ai eu du mal avec mes pensées. Des pensées inutiles, d'autres sur des choses importantes à faire...

Je me recentre sans cesse sur le son de mon cerveau, mais mes pensées sont toujours là à revenir au bout de deux secondes...

J'ai envie d'étouffer mon mental dans un sac :)

Même quand je me recentre, j'ai l'impression que c'est mon mental qui dit ca. Je m'apparente trop à lui.

Je voudrais pouvoir m'oublier et rester dans un instant présent sans pollutions. Mais je n'ai absolument aucune idée comment faire.

Voici les questions que j'aimerais comprendre, pouvez-vous m'aider ? :

- Comment cesser de s'apparenter à son mental ? Ne plus se diviser en sois, éviter la dualité. Comment retrouver un état permanent de silence intérieur ? Faut-il tenter de repousser ses pensées ou les laisser passer ?

J'ai le sentiment que repousser ses pensées est peine perdue. Les laisser passer me paraît parfois très difficile à faire.

Cela me rappel la métaphore du singe qui saute de branches en branches.

- Faudrait-il avoir un parfait contrôle du mental AVANT de pratiquer ce genre de méditation, ou cela vient-il en même temps ?
De ce que je comprend, je dirais que se concentrer sur les bruits du cerveau incite à ne pas penser à autre chose. Néanmoins, est-ce que par cette pratique, je développe suffisamment ma concentration ?

Je suppose que Oui, mais j'aimerais une confirmation.

- Lorsque je me concentre sur le son de mon cerveau, j'ai tout de même souvent tendance à regarder mon écran mental, et changer de zone (coeur, front, en haut à droite de l'écran mental, a gauche etc).
Est-ce dû à un mon manque de concentration ? est-ce important de ne faire attention qu'au son du cerveau et rien d'autre ?

- Lorsque j'ai des sensations assez fortes, mon mental s'affolent et semble obliger de ramener sa fraise et commenter. Du genre : SAYAIS CA COMMENCE, RESTE SANS BOUGER, LAISSE VENIR, CA VA RETOMBER OU PAS ? etc...
Est-il important de rester totalement concentrer sur le son malgré toute les sensations fortes ? ou le fait de contempler les images de l'écran mental, les vibrations, etc, annule l'état nécessaire au dédoublement ?
Je pense que la réponse est de rester concentrer quoi qu'il arrive et encore plus à cet instant.

- Est-ce que la concentration sur le son du cerveau est obligatoire ? Il me semblait que j'avais plus de sensations lorsque je me concentrais sur la vue ou autre chose.

- Je remarque je suis très crispé au niveau de la tête, tout mon corps et bien relaxer mais je remarque je me crispe beaucoup au niveau du visage. Sans parler de la salive qui deviens dérangeante et qui me déconcentre. J'ai actuellement un peu mal la tête, comme si ma tête était comprimée. Est-ce que cela vient du travail de méditation ou de mes cervicales qui sont un peu douloureuses ?

- Pourquoi ? Pourquoi ais-je autant de mal à me dédoubler ?
J'ai entendu dire qu'il fallait d'abord créer son corps astral pour se dédoubler, est-ce vrai ? est-ce simplement un problème de "présence" ?

Je sens que j'ai les réponses à mes questions, et je suppose que c'est mon égo qui veut de l'aide et du soutien. J'ai trop attendu et ne veut pas attendre encore des années avant de réussir. La patience est de mise, et je l'ai. Mais le plus tôt sera le mieux :)
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Re: Carnet de route de Paul

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j'ai trouvé une partie de mes réponses ici : http://www.don-et-compassion.com/commen ... acles.html
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Hors ligne Paul12
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Re: Carnet de route de Paul

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Méditation du soir de 23h15 à 00h15 :

Beaucoup de difficultés passé 30-45min. Digestion au niveau du bas ventre. Je deviens très irritable. Entre le chat qui se lèche, ma compagne qui remue sans cesses, mes démangeaisons, c'est un calvaire.

J’eus besoin de déglutir mais je décide de continuer, je vais pas m'arrêter pour si peu.

Méditation du matin : 5h15 à 6h30 :
Ce fut un peu plus facile mais mon bas ventre n'est pas encore au top. J'ai des sortes de fourmillements au niveau des "sphincters" (je ne sais comment définir autrement) qui m'empêchent de me concentrer.
Je décroche souvent et reviens.

Je fini par faire un bruit de ronflement qui me poussa à déglutir. Fin de la méditation.

Depuis que je fais cette pratique, je remarque que je parviens à méditer plus longtemps. Mais en parallèle, j'ai moins de sensations et plus de difficultés à me concentrer.

J'ai le sentiment de régresser, car les difficultés à supporter les caprices de mon corps immobiles, m'empêche de rester passif et concentré.

Je passe plus de temps à essayer de supporter mes démangeaisons qu'a être dans un silence intérieur.

J'ai le sentiment de m'éloigner du but plus le temps passe.

Étant au chômage, le manque d'activité physique réduis l'activité de mon système digestif. Je crois qu'il est bon de pratiquer de la marche pour faire fonctionner correctement son corps physique.
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Hors ligne Paul12
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Re: Carnet de route de Paul

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Question : Qu'elle est la véritable raison de rester en méditation plus d'un heure ?

Pour pouvoir être certain d'être témoin de l'endormissement de son corps physique ? Ou pour une autre raison ?

J'ai le sentiment qu'en méditant ainsi, j'empêche l'endormissement.
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Hors ligne syrius70
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Re: Carnet de route de Paul

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Ton témoignage est précieux, je crois qu'on passe tous par ces phases, en tout cas je m'y reconnais tout à fait.

Si j'avais un conseil à te donner, je te dirais de ne pas juger ce que tu perçois comme un échec mais plutôt comme des informations sensibles et importantes sur ta réalité que tu vas continuer à découvrir (et qui risque de continuer à te restabiliser).

Il est normal que tant de choses nous échappent et qu'on ne comprenne pas grand chose: nous sommes loin d'être éveillés et omniscients n'est-ce pas?

Après il y a des cycles, des moments d'incertitudes et de doutes profonds, et des moments magiques d'expériences qu'on pensent libératrices, etc. Tout cela fait partie de ce qu'on a à considérer, à accepter, à méditer, à comprendre... pour apprendre, pour s'éveiller petit à petit, pas à pas.

Ne te laisse pas enfermer dans des conclusions ou compréhensions qui peuvent te paraître très justes sur le moment. Il y a tant de choses à apprendre et qui vont petit à petit tout remettre en question. Mais cela est souvent douloureux, déconcertant, c'est lié au processus de l'apprentissage lui-même il me semble.

Bonne continuation en tout cas, je te souhaite beaucoup de force, de courage et de l'inspiration!

Hors ligne Paul12
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Re: Carnet de route de Paul

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Merci pour ton soutien syrius, tu as raison dans ce que tu dis.

J'ai presque l'impression de voir quelqu'un d'autre se plaindre et se lamenter quand je me lis. Car cela passe rapidement, et je reviens sur ma détermination. J'aime en baver malgré mes plaintes. J'ai foi en ce cheminement. Je souhaite juste que je vais avoir des résultats assez rapidement. Pas des années avant de me dédoubler.

Ceci-dit, je veux vivre pleinement ce travail, en restant le plus franc possible. Quand ça m'agace, je le dis, quand je suis content, je me le dis. Toujours avec un certain recul sur moi, mais je ne veux pas bruler les étapes. Je pense qu'il m'est important de décrire précisément ma méditation en y ajoutant l'élément émotionnel, ce que cela provoque sur moi. Afin de me voir m'équilibrer au fur et à mesure.
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Hors ligne Paul12
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Re: Carnet de route de Paul

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Méditation du soir : de 21h30 à minuit : 2h30 de pratique (mon record actuel)

Etant fatigué par mon réveil à 5h de la veille, je décide de me coucher plus tôt, vers 21h. Après dialogue avec ma compagne, je décide de démarrer ma méditation.

J'ai pratiqué juste avant des étirements pour me relaxer un peu plus. J'ai moins mangé le soir pour éviter une trop forte digestion.

Je me suis allongé sur mon lit en position "du cadavre" et les couvertures jusqu'à la taille, car la veille, j'avais vraiment trop chaud.

Je décide, cette fois-ci, de tolérer la déglutition. Car c'est souvent cela qui me pose le plus problème. Afin d'essayer des postures différentes et voir ce qui me va le mieux.

Sur 2h30 je dégluti 3 fois. Une fois de manière mécanique, et les autres pour éviter de me focaliser totalement dessus.

J'ai tenté la bouche fermé, la langue d'une certaine manière pour empêcher que la salive aille dans ma trachée et me provoque la déglutition. Cela à bien fonctionner environ 1h. Puis j'ai essayé la bouche ouverte. Le résultat fut sensiblement le même sauf que ma gorge était assez sèche.

L'avantage de la bouche ouverte, c'est qu'il m'est possible "d'imiter" ma respiration profonde de quand je dors. Ce qui semble aider le corps à sombrer davantage.

Donc j'aurais tendance à privilégier cette posture.

Je me demande s'il est vraiment grave de déglutir une fois de temps en temps durant la relaxation. Lorsque le corps physique dors, inconscient, il dégluti tout de même, je suppose.

J'ai prié plusieurs fois ma Divine Mère pour m'aider à me concentrer. Car au début, sur la première heure, mon mental était assez actif. Mais contrôlable. Je le ramenais à la concentration en formulant ainsi : "Nous devons nous concentrer sur cette méditation, reviens t'assoir."

J'ai essayé ainsi, en pensant qu'en considérant mes parties dispersées du mental, comme une personne faisant partie de moi, cela faciliterais son contrôle. Ce qui sembla être assez convaincant.

Tout le long de la méditation, mes pensées était souvent présentes, mais pas dérangeantes, je pensais parfois à mon travail etc, mais je gardais un recul qui m'évitais de sombrer dans l'inconscience totale. J'étais toujours témoin, et je ramenais simplement plus de concentration sur mon objectif de temps à autre.

Passer un certain temps, les pensées semblaient plus discrètes et lointaines.

Concernant les sensations, elles ne furent pas tellement présentes à part une fois vers 1h de méditation, où pas mal de vibrations arrivèrent.

Sinon, paralysie du corps comme d'habitude. L'impression de ne pas pouvoir bouger ses membres, et pas l'envie non plus de le faire quand tout va bien :)

J'ai remarqué tout de même, vers le début de ma relaxation, quand mon mental était bien actif, qu'après avoir prié ma Divine Mère, 5 secondes après, je me suis instantanément détendu au niveau du visage, et j'ai vibré d'un seul coup. Cela est arrivé d'un coup et comme si je n'avais rien décidé de moi-même.

Ma compagne qui est malade, toussait souvent. Les bruits de chaudières etc, fait que mon environnement n'est pas totalement silencieux. Je pense que c'est préjudiciable dans le sens où je reste totalement présent et attentif à l'extérieur. Mes oreilles entendent tout. Et je suis totalement réveillé lorsque je pratique. Cela donne un repère à mes sens.

A un moment donné, vers 2h de méditation, un de mes deux chats (le plus lourd évidemment) vint me voir pour un câlin. Ne bougeant pas, elle hésita à monter sur moi, mais le fit quand même. Elle est monter sur mon torse et en général s'allonge sur moi pour réclamer des caresses. Ne me voyant pas réagir, elle alla à mes pieds pour dormir. Le tout en marchant sur moi, évidemment !
La sensation fut étrange. D'habitude, c'est pas spécialement agréable de sa faire marcher dessus par 7kg de chat sur des petites pattes pointues !
Mais cette fois-ci, je sentais mon corps comme réagir à ses pas. La sensation fut que je sentais mon corps tout "froid". Réellement comme un cadavre. C'était un peu étrange. Je ne sais pas comment décrire cela. Comme si il ne réagissait plus et qu'il avait perdu en vitalité.

Après tout cela, voici les questions qui me viennent :

- Est-ce que je dois méditer ainsi longtemps jusqu'à atteindre l'état de sommeil total ? Car j'ai l'impression que je pourrais rester ainsi toute la nuit sans grand problème particulier. Lorsque mon corps ne subit pas trop de démangeaisons, c'est assez facilement faisable. Mais je ne vois pas l'intérêt. D'ailleurs, cette fois-ci, j'ai décidé d'arrêter pour parler à ma compagne et m'occuper d'elle, car je voyais qu'elle était en galère avec son mal. Mais j'aurais pu tenir bien plus longtemps.

- Je trouve que ma tête est crispée. C'est la seule zone vraiment éveillé. Est-ce que je dois essayer de relaxer plus cette zone ? Mais j'ai le sentiment que si je cherche à détendre d'avantage ma tête, je dois pour cela perdre conscience et donc m'endormir.

- Est-ce vraiment important de méditer longtemps ? Car il semble que les personnes avancées sortent en environ 30min. Je remarque aussi que mes sensations fortes arrivent souvent avant 1heures de pratique. Après c'est plutôt le vide.
Alors, est-ce que ce n'est pas plutôt un état particulier à atteindre pour sortir, plutôt qu'une attente ?
Ou le fait de pratiquer longtemps, donne plus de temps de "test" pour trouver l'état ?

Je dois comprendre les erreurs qui m'empêche de me dédoubler.
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