Jean-François"][quote="Yindo"]Une fois endormi je me retrouvai automatiquement bombarder de flash représentant ce que je nommerai des mathématiques, des formules me traversaient à toute vitesse comme si les chiffres ainsi que les symboles que je voyais étaient vivants.
Peut-être étais-tu de passage temporaire dans la Séphiroth Chesed où les mathématiques sont à l'honneur : Dans le monde de l'Atman, on se sent un homme complet ; car dans notre monde, l'animal intellectuel n'est pas un homme. L'initié se sent rempli d'une immense plénitude ; dans ce monde, il est un homme réel dans le sens le plus objectif du mot. Sa partie négative est le monde physique ; le monde de l'Atman est un état positif. On y voit une ville sous sa forme la plus réelle, on y voit une table de tous les côtés, d'en haut, d'en bas, de l'intérieur, de l'extérieur, et c'est la même chose pour une montagne. Dans une cuisine, on voit le nombre d'atomes dont se compose un couvert, le nombre de molécules que contient le pain ou la viande que l'on va manger. On perçoit non seulement les solides de manière intégrale, mais également les hypersolides, de même que la quantité exacte d'atomes qui constituent dans leur ensemble la totalité d'un corps.
Si l'étudiant n'est pas préparé, il est déçu, car il se retrouve dans un monde au réalisme le plus cru : c'est le monde des mathématiques. On y voit le drame de la nature, on y est spectateur de la nature. Le monde des mathématiques est le monde de l'Atman. Extrait du sujet : Chesed est en soi l'Intime :
http://www.gnose-de-samael-aun-weor.fr/ ... =46&t=2018
Réponse 2 : Bonjour, l’intervention de Jean François [Peut-être étais-tu de passage temporaire dans la Séphiroth Chesed, où les mathématiques sont à l'honneur ]. est intéressante. Néanmoins, et, selon ce qu’un Maître en l’Art de la kabbale m’a transmis, Chesed, ou, sephira de la miséricorde, est la somme de « Shin, Samech, et Daleth », somme qui fournit sa signification originelle, lorsque l’on connaît la valeur des lettres hébraïques. Shin signe le feu, Samech signe le vecteur du feu (le serpent), et Daleth signe la division, depuis l’unité, ou, en mathématique différentielle, la « dérivation ». L’image magique de Chesed est celle d’un puissant Roi, couronné, assis sur son trône. Cette séphire se situe au centre du pilier dit « de la miséricorde » (donc, de polarité féminine ; celui, non pas du Père, « Aba », mais, de la Mère universelle, « Ama »). Une séphire « Est » un niveau déterminé (comme en musique) potentiel d’influence. Imaginons un lac de montagne, il ne peut en « soi », que nourrir des truites. Il peut cependant « en Soi », si l’on adjoint une conduite forcée, et une turbine en contre-bas (à un potentiel inférieur), fournir une énergie électrique. Le lac devient la « phase », et la turbine le « neutre ». Le « sentier » correspondant aux influences de Chesed, est appelé « l’intelligence cohésive et-ou .. réceptive », parce-qu’elle contient, en potentiel, tous les pouvoirs sacrés. Son nom divin est (bien connu) : « EL » ; partie de nom qui termine tous les noms d’Archanges. Dans le sens de la Voie descendante (Génération, depuis Bereschyit), les influences de Chesed sont donc exprimées par les « forces archangéliques) ; dans le sens remontant de la Re-génération, (manifestée), ses influences sont représentées et exprimées par le « Collège des Grands Maîtres, ayant vécu, sur Terre, ou, dans un autre espace-temps ». Le Maître des Maîtres, connus, de notre Galaxie, a pour nom « Melchisedeck ». Dans le présent site, je crois qu’il a pour nom, Sanat Kumara. On ne peut recevoir les influences d’une seule sephira d’une seule colonne. (Miséricorde féminine ou Rigueur masculine), Chesed ne s’ex-prime (ex-pression) qu’en étant contrebalancé par son opposé Geburah. Chesed a d’ailleurs reçu le second nom de Gedula. La Voix de Chesed, perçue par un humain incarné, s’exprime par le dessin qui figurait sur les gramophones : « La voix de son maître ». Les mathématiques supérieures, voire, très supérieures ne sont perçue que par la mise en œuvre de la sephira cachée « Daath ». Elle correspond à la libération du Dhikr chez les Soufis. Mais, pour que la conscience humaine puisse im-primer (im-pression-ner) les archives akaschiques lors de l’ouverture de Daath, il est nécessaire d’avoir laissé sur son lit, à la fois notre personnalité actuelle (notre identité dans la présente incarnation), et, ce qui est beaucoup plus difficile à réaliser, l’individualité de notre Ame ! Un contact au niveau de Daath, est « informel ». La conscience n’a plus aucune enveloppe ; elle est « pure conscience ». il s’agit d’un dialogue entre une conscience pure (sans forme) individuelle, et « La » conscience pure universelle. Si l’on plonge les mains dans un océan, nos mains fermées rapporteront une toute petite parcelle du grand océan, sans limite spatiale, et, intégralement éternel. Si vous avez vécu ce transfert de conscience, alors, oui, tel Pythagore, vous « co-naissez » les mathématiques universelles. Sinon, vous êtes, encore, et encore sous l’influence de « maya » l’illusion. Mais, comme je l’ai lu dans le présent site, « c’est en forgeant que l’on devient forgeron ». Attention tout de même à ne pas prendre une vessie pour une lanterne. Quand j’ai commencé mes transferts de conscience, j’avais un Maître vivant, à côté de moi ; je lui décrivait mes expériences, et il « allait les vérifier, par lui-même ». Mes « copies, étaient corrigées » ; cela évite bien des désillusions. Aujourd’hui mon « correcteur » a quitté son enveloppe physique. C’est pour cela que j’hésite à me lancer seul. Mais, il est vrai que l’heure de se lancer est venue, alors, allons-y, …courage, patience, et persévérance ! Un Maître de la spagyrie ne façonne pas la lame d’un sabre de Samouraï en une seule journée. Très fraternellement. Benoit