Vaincre la peur de la décorporation
Modérateur : Noe
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Re: Vaincre la peur de la décorporation
Bonjour Sidney,
Bienvenue dans cette espace d’échange autour du thème de la psychologie expérimentale et merci d’avoir pris le temps nécessaire pour nous permettre de mieux comprendre ton parcours dans ta présentation.
Concernant ta préoccupation de « vaincre la peur de la décorporation », l’expérience prouve qu’elle fait partie des obstacles qui se présentent pour la majorité d’entre nous.
C’est la raison pour laquelle, nous y avons consacré un chapitre sur le site D&C :
http://www.don-et-compassion.com/voyage ... _peur.html
Si nous y regardons de près, qu’est-ce qui nous manque lorsque nous avons peur ? - Certainement une unité psychologique.
Nous voulons et ne voulons pas, nous croyons et ne croyons pas, nous sommes à la fois fébriles et impatients, courageux mais pas téméraires, ambitieux et résignés d’avance, plein d’entrain mais paresseux, etc…
Il y a une foule de sentiments contradictoires en nous, qui font que la peur peut facilement nous contrôler et nous détourner de notre objectif.
Se connaître soi-même à travers la crue observation de soi, s’avère indispensable pour nous comprendre nous-mêmes et comprendre par la même ce qui nous manque et ce que nous avons en trop…
La méditation est une technique d’unification de l’esprit qui permet de nous libérer de toutes formes de peur.
http://www.don-et-compassion.com/medita ... ation.html
Comment pouvons-nous atteindre la sérénité du cœur tranquille sans « savoir » méditer, c'est-à-dire sans être capable de cesser le processus de la pensée ?
Comment pouvons-nous rester sereins devant n’importe quel phénomène physique, astral ou mental, si nous ne « savons » pas nous abandonner dans notre Etre, notre propre Bouddha intérieur ?
Mon point de vue est qu’exclure l’ardeur mystique du cœur pénitent dans le processus de « décorporation », qui signifie éveil de la conscience, est une erreur consécutive de notre ignorance.
Que la Lumière de ton Etre se révèle dans ton cœur,
L.
Bienvenue dans cette espace d’échange autour du thème de la psychologie expérimentale et merci d’avoir pris le temps nécessaire pour nous permettre de mieux comprendre ton parcours dans ta présentation.
Concernant ta préoccupation de « vaincre la peur de la décorporation », l’expérience prouve qu’elle fait partie des obstacles qui se présentent pour la majorité d’entre nous.
C’est la raison pour laquelle, nous y avons consacré un chapitre sur le site D&C :
http://www.don-et-compassion.com/voyage ... _peur.html
Si nous y regardons de près, qu’est-ce qui nous manque lorsque nous avons peur ? - Certainement une unité psychologique.
Nous voulons et ne voulons pas, nous croyons et ne croyons pas, nous sommes à la fois fébriles et impatients, courageux mais pas téméraires, ambitieux et résignés d’avance, plein d’entrain mais paresseux, etc…
Il y a une foule de sentiments contradictoires en nous, qui font que la peur peut facilement nous contrôler et nous détourner de notre objectif.
Se connaître soi-même à travers la crue observation de soi, s’avère indispensable pour nous comprendre nous-mêmes et comprendre par la même ce qui nous manque et ce que nous avons en trop…
La méditation est une technique d’unification de l’esprit qui permet de nous libérer de toutes formes de peur.
http://www.don-et-compassion.com/medita ... ation.html
Comment pouvons-nous atteindre la sérénité du cœur tranquille sans « savoir » méditer, c'est-à-dire sans être capable de cesser le processus de la pensée ?
Comment pouvons-nous rester sereins devant n’importe quel phénomène physique, astral ou mental, si nous ne « savons » pas nous abandonner dans notre Etre, notre propre Bouddha intérieur ?
Mon point de vue est qu’exclure l’ardeur mystique du cœur pénitent dans le processus de « décorporation », qui signifie éveil de la conscience, est une erreur consécutive de notre ignorance.
Que la Lumière de ton Etre se révèle dans ton cœur,
L.
"Le temps s'écoule plus vite que notre poussière"
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Re: Vaincre la peur de la décorporation
Cher Ami,
Il n'est nul besoin de s'excuser entre amis sur nos échanges de point de vue.
La sagesse populaire nous éclaire souvent de ses bons mots, « c’est en forgeant qu’on devient forgeron ! ».
Ce principe s’applique dans notre méditation quotidienne, jusqu’à ce que nous parvenions à prendre conscience des parties inattentives de notre mental.
Ce qui est inattentif en nous est un ensemble diffus de conditionnements, réactions et associations mécaniques, peurs, doutes, raisonnements, etc.
La quiétude mentale est le fruit d’une compréhension profonde de ce qui divise le mental, de ce qui est calme en apparence mais en vérité agité.
En matière de dédoublement astral conscient, nous ne pouvons nous contenter d’un pseudo "calme de circonstance" qui à la moindre « manifestation astrale » explosera en tempête émotionnelle, cela tu le sais à présent.
Le travail d’introspection est par conséquent capital pour observer ce qui est.
Observer ce qui est inconscient et inattentif en nous revient à braquer un rayon de lumière sur notre épouvantable mécanicité.
Les questions que tu poses proviennent de cette mécanicité :
« (…) Comment gère-t-on le fait de passer d'un plan à un autre ? La conscience et le raisonnement restent-ils les mêmes ou bien observe-t-on une déconnexion d'avec les idées et les émotions que l'on pouvait avoir un instant avant le moment de basculement par exemple ? Que se passe-t-il exactement en général ? »
Que se passe t-il lorsque nous changeons « notre niveau d’être » ? - Notre manière de penser, notre manière de sentir, de parler, de marcher, de manger, de boire, etc… change, en vérité tout change !
Qu’est-ce qui change ? – C’est ce qu’il nous faut découvrir à travers sa propre expérience et jamais l'intellect ne pourra le vivre.
Par conséquent, ce qui important c’est de changer ce que nous sommes en «quelque chose » de différent, de nouveau.
La psychologie révolutionnaire enseigne, lorsque nous la vivons, de quelle manière nous pouvons réaliser ce changement.
http://www.don-et-compassion.com/psycho ... naire.html
Il est clair que le mental ne peut recevoir le vin nouveau de la connaissance tant qu’il fonctionne sur des bases erronées.
Le passage entre la veille et le sommeil s’effectue, lorsque les conditions intérieures sont réunies, de la façon la plus naturelle qui soit. Le corps s’endort et nous savons que le corps s’est endormi, et rempli d’une foi intense et vivante, nous nous levons de notre lit. C’est tout ! Rien de plus que cela.
Les phénomènes sont légions entre le moment où nous nous allongeons et relaxons dans notre lit en nous proposant d’observer notre sommeil et celui où nous avons conscience que notre corps s’endort.
Le pouvoir de la méditation et de l’authentique prière nous permet de ne pas nous attacher à ces manifestations plus ou moins étranges. La claire lumière est, tandis qu'une pensée succède à une autre pensée, de n'être accaparé par aucune d'entre elles. En vérité, "le reste" n'a aucune importance.
« A un carrefour animé au milieu de la place du marché, au milieu des vagues incessantes de la vie, c’est exactement là la juste place où déployer son effort ».
C’est ce chemin que je t’encourage de découvrir.
Bien à toi en la Sainte Science,
L.
Il n'est nul besoin de s'excuser entre amis sur nos échanges de point de vue.
La sagesse populaire nous éclaire souvent de ses bons mots, « c’est en forgeant qu’on devient forgeron ! ».
Ce principe s’applique dans notre méditation quotidienne, jusqu’à ce que nous parvenions à prendre conscience des parties inattentives de notre mental.
Ce qui est inattentif en nous est un ensemble diffus de conditionnements, réactions et associations mécaniques, peurs, doutes, raisonnements, etc.
La quiétude mentale est le fruit d’une compréhension profonde de ce qui divise le mental, de ce qui est calme en apparence mais en vérité agité.
En matière de dédoublement astral conscient, nous ne pouvons nous contenter d’un pseudo "calme de circonstance" qui à la moindre « manifestation astrale » explosera en tempête émotionnelle, cela tu le sais à présent.
Le travail d’introspection est par conséquent capital pour observer ce qui est.
Observer ce qui est inconscient et inattentif en nous revient à braquer un rayon de lumière sur notre épouvantable mécanicité.
Les questions que tu poses proviennent de cette mécanicité :
« (…) Comment gère-t-on le fait de passer d'un plan à un autre ? La conscience et le raisonnement restent-ils les mêmes ou bien observe-t-on une déconnexion d'avec les idées et les émotions que l'on pouvait avoir un instant avant le moment de basculement par exemple ? Que se passe-t-il exactement en général ? »
Que se passe t-il lorsque nous changeons « notre niveau d’être » ? - Notre manière de penser, notre manière de sentir, de parler, de marcher, de manger, de boire, etc… change, en vérité tout change !
Qu’est-ce qui change ? – C’est ce qu’il nous faut découvrir à travers sa propre expérience et jamais l'intellect ne pourra le vivre.
Par conséquent, ce qui important c’est de changer ce que nous sommes en «quelque chose » de différent, de nouveau.
La psychologie révolutionnaire enseigne, lorsque nous la vivons, de quelle manière nous pouvons réaliser ce changement.
http://www.don-et-compassion.com/psycho ... naire.html
Il est clair que le mental ne peut recevoir le vin nouveau de la connaissance tant qu’il fonctionne sur des bases erronées.
Le passage entre la veille et le sommeil s’effectue, lorsque les conditions intérieures sont réunies, de la façon la plus naturelle qui soit. Le corps s’endort et nous savons que le corps s’est endormi, et rempli d’une foi intense et vivante, nous nous levons de notre lit. C’est tout ! Rien de plus que cela.
Les phénomènes sont légions entre le moment où nous nous allongeons et relaxons dans notre lit en nous proposant d’observer notre sommeil et celui où nous avons conscience que notre corps s’endort.
Le pouvoir de la méditation et de l’authentique prière nous permet de ne pas nous attacher à ces manifestations plus ou moins étranges. La claire lumière est, tandis qu'une pensée succède à une autre pensée, de n'être accaparé par aucune d'entre elles. En vérité, "le reste" n'a aucune importance.
« A un carrefour animé au milieu de la place du marché, au milieu des vagues incessantes de la vie, c’est exactement là la juste place où déployer son effort ».
C’est ce chemin que je t’encourage de découvrir.
Bien à toi en la Sainte Science,
L.
"Le temps s'écoule plus vite que notre poussière"
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Re: Vaincre la peur de la décorporation
Bonjour Benoit,Benoit a écrit :Lorsque le temps sera venu, je souhaiterais pouvoir participer aux téléconférences par skype. Merci. Benoit
Il me semble que vous avez demandé et vous avez trouvé.
Il ne reste plus qu'à pratiquer votre intention.
Et si vous en éprouvez le besoin, d'ouvrir éventuellement un carnet de route qui permet de s'astreindre à un suivi plus ou moins long d'auto-travail, d'auto-rectification, d'auto-censure, etc.
Je pratique de la sorte et je m'oblige à continuer. C'est ainsi que cela m'aide à prendre conscience de tous les "sophismes de distraction" qui polluent mon parcours intérieur. Et aussi de quelques progrès lorsque je relis des messages du passé. Et aussi d'exprimer par écrit ce qui n'est pas forcément conscient sur le moment.
Bienvenue.
Pascal